Princesse Sissi
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 La vrai histoire de Sissi

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Élizabeth
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MessageSujet: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeJeu 25 Sep - 0:31

Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach (née le 24 décembre 1837 à Munich et décédée le 10 septembre 1898 à Genève) née duchesse en Bavière, épousa l’empereur François-Joseph Ier et fut impératrice d’Autriche (1854–1898) et reine couronnée de Hongrie (1867–1898). Elle est universellement connue sous le surnom de Sissi, bien que la graphie autrichienne soit Sisi.

Sommaire [masquer]
1 Biographie
1.1 Duchesse en Bavière
1.2 Impératrice d’Autriche
1.3 Souveraine malade
1.4 Reine de Hongrie
1.5 Une inlassable mouette
1.6 Souveraine meurtrie
1.7 Impératrice assassinée
2 Famille
2.1 Parents
2.2 Frères et sœurs
2.3 Enfants
3 Voir aussi
3.1 Liens externes
3.2 Bibliographie
3.3 Filmographie



Biographie [modifier]

Duchesse en Bavière [modifier]
Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, dite Sissi, naît le dimanche 24 décembre 1837 dans un palais de la Ludwigstrasse à Munich. Le nourrisson a déjà une dent - tout comme Napoléon Ier - ce qui est perçu comme un signe de chance. Elle est le troisième enfant et la deuxième fille du duc Maximilien en Bavière et de la princesse née Ludovica de Bavière. Le duc, couramment appelé "Max", est le chef de la branche cadette des Wittelsbach et la duchesse Ludovica, la fille cadette du roi de Bavière Maximilien Ier Joseph et de la princesse née Caroline de Bade. Leur mariage était au sens le plus strict un mariage dynastique et de raison. Les deux époux n'avaient aucun goût en commun. la duchesse était une princesse des plus conformistes ( éprise de l'ex-roi Michel Ier de Portugal) et le duc Maximilien se révéla un époux excentrique et volage. Grand voyageur, il délaissait très souvent sa femme et ses enfants. De plus, il ne se cachait pas d'avoir des enfants naturels et deux d'entre eux mangeaient régulièrement à la table du couple avec leurs enfants légitimes.

L’enfant reçoit le prénom d’Élisabeth en l’honneur de sa marraine et tante maternelle, la reine Élisabeth de Prusse, née princesse royale de Bavière (1801-1873). Les autres sœurs de sa mère sont la princesse de Leuchtenberg, épouse du fils adoptif de l'Empereur des Français Napoléon Ier , les reines de Saxe et l'archiduchesse Sophie, belle-sœur de l'empereur Ferdinand Ier d'Autriche. Quant à ses oncles maternels, le prince héritier Maximilien est un intellectuel et le prince Charles Théodore vit à l'écart de la cour ayant préféré épouser la femme roturière de son choix plutôt qu'un membre d'une famille princière. Le père de Sissi était fils unique et son père le duc Pie, profondément misanthrope, époux de la fille du duc d'Arenberg, mourut en 1837.

La petite Élisabeth grandit l’hiver à Munich et l’été dès que possible au château de Possenhofen, dit Possi', petit château aux tourelles carrées, situé sur les rives du lac de Starnberg. Élevée sans contrainte ni manières, elle est passionnée d’équitation, de poésie et adore faire de longues promenades en forêt. Ses goûts se tournent surtout vers les animaux et la poésie. Elisabeth porte en elle la mélancolie des Wittelsbach, dynastie composée surtout d'artistes et de mécènes. A 15 ans, déjà, elle écrit des poèmes dont la tristesse inquiète son entourage.


Impératrice d’Autriche [modifier]

L'impératrice et reine ElisabethEn août 1853, l'Empereur François-Joseph d’Autriche fête son vingt-troisième anniversaire dans la résidence impériale d’été d'Ischl. C’est à cette occasion qu’il doit se fiancer officiellement avec sa cousine germaine la duchesse Hélène en Bavière, sœur aînée d’Élisabeth. Mais c’est de Sissi dont le jeune souverain s'éprend. À la surprise de sa mère l’archiduchesse Sophie, il annonce le 19 août son intention d'épouser la jeune Sissi, à peine âgée de quinze ans, perturbée par la perte de son premier amour, le comte Richard, jeune écuyer de son père. En effet, les parents d'Elisabeth, ne trouvant pas le comte assez bien pour elle, ont décidé d'éloigner le jeune homme. Il revint plusieurs mois plus tard, malade et décèdera peu après. Le mariage est célébré le 24 avril 1854 à Vienne, en Autriche. La jeune impératrice, habituée aux manières simples de sa Bavière natale, supporte mal la pesante étiquette viennoise, et s'enfonce vite dans une profonde dépression. Les premiers temps du mariage, le couple prend ses quartiers au château de Laxenbourg, aux environs de la capitale. Elisabeth se sent perdue et est surveillée à toute heure du jour par sa belle-mère ou par l'une des nombreuses espionnes à la solde de celle-ci. L'empereur, qui l'adore pourtant, est peu présent. Il est écrasé par les obligations de sa fonction et doit se rendre tous les jours à Vienne, au palais de la Hofburg, ou au palais de Schönbrunn et n'en revient que très tard dans la soirée. Elisabeth se sent abandonnée. De là proviennent ses premières répugnances de la vie conjuguale. Beaucoup plus tard, elle confiera à sa fille Marie-Valérie "le mariage est une institution absurde. Enfant de 15 ans, j'ai été vendue..." Cependant, elle est rapidement enceinte et donne naissance successivement à deux filles, Sophie et Gisèle et un fils, Rodolphe. L'archiduchesse Sophie décida de prendre en charge l'éducation des enfants du couple ce qui créa des conflits à répétition. De plus la mort de la première fille d'Elisabeth, la petite archiduchesse Sophie, marqua profondément sa mère. La naissance difficile de Rodolphe par la suite et la culpabilité qui la rongeait n'a rien arrangé entre elle et François-Joseph, ni avec sa belle-mère. Les relations entre Élisabeth et sa belle-mère (qui est aussi sa tante), l'archiduchesse Sophie, furent souvent orageuses. Les deux femmes ne pouvaient se comprendre et bien au-delà du conflit familial traditionnel il y avait entre elles le fossé de deux visions différentes des devoirs d'une souveraine et de deux conceptions politiques différentes de l'avenir de l'Autriche. Sophie avait sacrifié sans se plaindre les espérances d'une jeune fille romantique, acceptant son destin de princesse mariée malgré elle qu'elle jugeait tout à fait acceptable[réf. nécessaire].

Contrairement à la légende, Sophie n'avait pas été déçue du choix d'Élisabeth. Elle en appréciait les qualités personnelles et elle l'aimait. De plus, sur le plan dynastique et diplomatique, une duchesse en Bavière en valait bien une autre, l'essentiel étant de trouver des alliés au sein de la Confédération germanique pour contrer les ambitions du royaume de Prusse. Au départ, les ambitions de Sophie et de François-Joseph se portèrent sur la princesse Anne de Prusse mais le gouvernement de Berlin s'y opposa pour mieux préserver sa liberté de manœuvre face à la prééminence autrichienne. Le « couple » d'archiducs se tourna alors vers la famille royale de Saxe mais la princesse Sidonie n'eut pas l'heur de plaire au jeune empereur qui s'éprit ensuite d'une de ses cousines hongroises déjà veuve et mère d'une petite fille. L'archiduchesse, qui gardait un souvenir cuisant de la révolution hongroise - soutenue par le frère de la jeune archiduchesse, chef de la branche hongroise - y était opposée et femme de caractère, fit épouser l'archiduchesse veuve - qui se prénommait également Elisabeth - par un cousin autrichien de la branche de Teschen. Elle se rabattit, en désespoir de cause, sur une de ses nièces issues de la branche ducale de sa maison. C'était le moins mauvais parti à prendre.

L'archiduchesse Sophie reprochait à sa belle-fille un tempérament puéril qui refusait de sacrifier sa vie privée, plaçant sa vie et ses goûts personnels au dessus des devoirs de sa charge. Intelligente, sensible et cultivée, ayant sacrifié sa vie, ses ambitions et ses amours à une union certes prestigieuse mais avec un homme sans éclat, Sophie ne pouvait comprendre ni admettre que la jeune impératrice refusât d'être une souveraine, préférât être Élisabeth et -somme toute- privilégiât sa vie privée au détriment de sa vie publique. Ni la ville ni la Cour de Vienne n'aimaient Élisabeth dont le mépris pour sa capitale et ses institutions était connu de tous. Ironiquement, un journal titra un 1er janvier : « Nous remercions Votre Majesté d'avoir daigné passer quatre jours à Vienne cette année ! ».

Elle ne refusa toutefois aucun des avantages financiers de sa position. Elle dépensait sans compter en toilettes, chevaux, équipages et voyages. François-Joseph paya toutes ses dépenses sans jamais lui en faire le reproche. En 1875, à la mort de l'Empereur Ferdinand Ier, qui avait abdiqué en sa faveur en 1848, François-Joseph remit à Élisabeth des sommes importantes prélevées sur cet héritage considérable car il avait conservé la possession de tous les apanages du défunt. Élisabeth plaça lesdites sommes en Suisse[réf. nécessaire]. Elles furent ensuite partagées entre ses héritiers à sa mort.

Sa beauté, qu'elle entretenait excessivement, lui ayant reconnu un certain pouvoir, était unanimement admirée et célébrée. Ses aptitudes équestres étaient également remarquables. Elle fut considérée comme la meilleure cavalière de son temps
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Élizabeth
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeJeu 25 Sep - 0:31

Souveraine malade [modifier]
En 1860, Elisabeth souffre d'une toux incessante. On diagnostique une tuberculose et on l'envoie à Madère pour se soigner. En réalité, maladie et faiblesse furent la conséquence de toute une série d'évènements qui faisaient souffrir Elisabeth. Il y eut d' abord la mort de sa première fille, la petite Sophie; la culpabilité qui la rongeait, et sa belle-mère qui ne cessait de l'accuser d'avoir tué sa fille; puis la naissance de Rodolphe qui l'avait affaibli.

C'est à cette époque que François-Joseph part faire la guerre contre Napoléon III et laisse son epouse seule à Vienne. Elisabeth combat son désœuvrement en inaugurant un hôpital au château de Laxenbourg pour soigner les blessés qui remontent sur la capitale. Elle y passe des journées entières et suscite même l'admiration de sa belle-mère qui pour une fois reconnait son courage.

Quand elle n'en peut plus des blessés, elle part des journées entières à cheval pour épuiser ses forces. La nuit elle écrit à son mari, l'implorant de revenir et détrempant le papier par ses larmes. Elle s'est mise à fumer et scandalise la cour. Surtout que beaucoup de jeunes filles se mettent à l'imiter et un drame se produit. Une de ses jeunes cousines, entendant son père arriver, à voulu cacher sa cigarette dans un des pans de sa robe, et aussitôt elle s'est transformée en torche vivante. Elle décèdera peu après.

Pour célébrer le printemps, Elisabeth organise des bals privés dans ses appartements avec de jeunes couples de petite noblesse, mais elle se lasse très vite. Elle vit la nuit et le jour, épuise ses forces et mange très peu. Aussi, à Vienne il y a maintenant une nouvelle ennemie, Charlotte de Belgique, sa belle-soeur, épouse de Maximilien. Charlotte est ambitieuse, rompue au protocole, et très jalouse d'Elisabeth. De plus, elle sait comment plaire à l'archiduchesse Sophie. Immédiatement Elisabeth et Charlotte se détestent. Surtout qu'à la cour, on murmure que Charlotte est bien plus jolie qu'Elisabeth. C'en est trop, Elisabeth ne sait plus qui elle est, et ne reconnait même plus son image.

L'empereur revient à Vienne, il est défait, il a perdu et dans la foule on crie à l'abdication. De plus à son retour, tout à changé, il ne reconnait plus sa femme, et s'en éloigne. Il part retrouver les comtesses qu'il voyait avant son mariage pour faire son éducation sexuelle et bien sûr à la cour on ne se gêne pas pour en parler pour que cela arrive aux oreilles d'Elisabeth. C'est la goutte d'eau qui provoque son mal. Elle se met à tousser et on la croit perdue.

Elle passera quelques mois à Madère, puis on la fera revenir à Vienne, mais, dès son retour, son mal réapparait encore plus fort que lorsqu'elle était partie. On l'emmène à Corfou, croyant qu'elle n'en reviendra pas. Là-bas, les médecins cherchent à soigner son aversion pour Vienne et pour la cour, bien plus que son mal physique. C'est à Corfou qu'elle commencera une collection de photos de femmes en tout genre, afin de l'aider à apprivoiser son image. Elle revient à Vienne après deux ans d'absence. Plus sereine, prête à accepter la cour et le palais qu'elle appelle sa "prison dorée", elle a pourtant l'envie de voyager de par le monde, ce qu'elle fera très souvent, délaissant mari, devoirs et enfants.

Nonobstant, si Élisabeth n'a pas eu le droit d'éduquer ses trois premiers enfants (la première, Sophie, est morte très jeune), elle a su intervenir quand il le fallait, par exemple pour le choix du précepteur de l'archiduc héritier Rodolphe).

Pour éviter de prendre du poids, Élisabeth s'astreignait à consommer uniquement du lait et du bouillon de poulet, des substances très nourrissantes[réf. nécessaire] mais absolument répugnantes au palais, mises au point pour combler les besoins alimentaires des ouvriers trop pauvres pour acheter la nourriture normale des marchés. L'impératrice était tellement obsédée par la peur de grossir - elle ne pesait pourtant qu'un frêle 41 kilos pour 1 m 72 - que certains la considèrent a posteriori comme souffrante d'anorexie mentale.


Reine de Hongrie [modifier]
Le 8 juin 1867, Élisabeth, passionnée par la Hongrie, sa langue, le hongrois et son peuple, est couronnée reine de Hongrie aux côtés de son mari. Marie-Élisabeth devient donc Maria-Érzsébet, une souveraine aimée, admirée, acclamée, fêtée et adulée[réf. nécessaire] par le peuple magyar. Celui-ci lui offre[réf. nécessaire] le château de Gödöllö qui est situé à une trentaine de kilomètres de Budapest Gödöllö est le seul véritable endroit où elle se sent chez elle (à l'inverse des palais de Vienne). Elle s'y rendra très souvent.

Le rôle politique d'Élisabeth dans l'élaboration du compromis austro-hongrois, sans avoir été déterminant, est incontestable. Au moins dans l'influence qu'elle eut auprès de François-Joseph à surmonter sa répugnance vis-à-vis des Magyars et celle de ces derniers à l'encontre de leur roi. La répression de la révolution hongroise de 1848 avait laissé des traces d'amertume d'autant plus profondes dans les élites et dans le peuple hongrois qu'il avait fallu que François-Joseph fasse appel aux troupes russes pour rétablir l'ordre.

La joie éprouvée lors du compromis avec la Hongrie raviva pour une courte période sa relation avec François-Joseph et Sissi revint sur sa décision de ne plus tomber enceinte et fit une exception. Un an après le couronnement, elle donna à Budapest, le jour à une fille, Marie-Valérie.


Une inlassable mouette [modifier]
La nouvelle position d'Elisabeth a pour effet de distendre un peu plus les liens qui l'unissent à l'Autriche, et surtout à cette cour impériale qu'elle déteste. Elle s'entoure de dames de compagnie uniquement hongroises,parmi lesquelles Marie Festetics, et Ida Ferenczy. L'impératrice passe de plus en plus de temps à l'étranger en particulier à Gödollo, et ne rentre à Vienne qu'en de rares occasions. Elle se surnomme elle-même " la mouette des mers". Elle confie un jour à son fils Rodolphe que si elle devait s'établir au même endroit pour le restant de ses jours "le séjour dans un paradis même lui paraîtrait l'enfer". A travers ses évasions, c'est en réalité son époux qu'elle fuit, et cette relation conjugale dont elle ne veut plus et qui l'étouffe. Au fil des années, les époux ne se retrouvent que rarement. Francois-Joseph en souffre, et Elisabeth, qui culpabilise de ses absences répétées, pousse son époux dans les bras d'une actrice réputée du nom de Katherine Shratt. Francois-Joseph trouvera auprès de "l'amie" - c'est ainsi que le couple impérial nomme Mme Shratt dans ses lettres -l'équilibre conjugal qu'il avait perdu.


Souveraine meurtrie [modifier]
Au cours des années, les morts successives de sa fille aînée Sophie (alors âgée de deux ans),de ses beaux-frères l'empereur Maximilien Ier du Mexique (exécute sommairement) et Maximilien, prince de Tours-et-Taxis (mari d'Hélène), de son cousin le roi Louis II de Bavière, retrouvé noyé dans le lac de Starnberg, de son père le duc Max, de son fils unique l'archiduc Rodolphe à Mayerling, de son ami le comte Gyula Andrássy, de sa sœur Sophie-Charlotte, duchesse d'Alençon brûlée vive dans le tristement célèbre incendie du Bazar de la Charité, et de sa mère la duchesse Ludovica de Bavière,la folie dont est atteinte sa belle-soeur (bien que détestée) Charlotte, plongent Élisabeth dans une douleur et une mélancolie indescriptibles. Elle décide ne plus porter que du noir, et n'ayant plus de liens avec la cour de Vienne (sa fille Valérie s'est mariée en 1890), accentue ses voyages à travers l'Europe. Passionnée par la Grèce Antique et les héros homériques, elle apprécie particulièrement Corfou, où elle fait construire un magnifique palais de style antique: l'Achilléon.


Impératrice assassinée [modifier]
Le 10 septembre 1898, à l'âge de 60 ans, elle est assassinée à Genève, en sortant de l’hôtel Beau-Rivage, situé face au lac Léman, par un anarchiste italien, Luigi Luccheni, âgé de 26 ans, dans un acte de propagande par le fait.

Le jeune homme attend près de l'hôtel Beau-Rivage où l'impératrice-reine est descendue. À 13h35, celle-ci sort au bras de sa dame de compagnie, une jeune hongroise du nom d'Irma Stzaray. Passant près du jeune homme, l'impératrice reçoit ce qu'elle croit être un coup de poing et trébuche. Le meurtrier, qui vient de la poignarder au moyen d'une lime (exposée à Vienne dans un musée dédié à l'impératrice), s'échappe mais est interpelé quelques mètres plus loin. L'impératrice tient quand même à prendre le bateau, ce qu'elle fait avec peine, perdant connaissance une fois à bord. En ouvrant son corsage, sa dame de compagnie observe un infime point rouge au dessus du sein gauche. Ramenée dans ses appartements, Sissi décède dans les bras de Fanny Mayer, l'épouse du propriétaire de l'hôtel. Elle repose aux côtés de 137 autres membres de la dynastie des Habsbourg-Lorraine, dans la crypte des Capucins, à Vienne.


Famille [modifier]

Armoiries de l'impératrice Élisabeth
Parents [modifier]
Maximilien Joseph (1808-1888), duc en Bavière. Il épousa en 1828...
...Marie Ludovica Wilhelmine (1808-1892), duchesse de Bavière , fille du roi Maximilien Ier de Bavière et de Caroline de Bade.

Frères et sœurs [modifier]
Louis Guillaume (1831-1920), duc en Bavière. Il épousa morganatiquement (1859) l’actrice Henriette Mendel (1833-1891), titrée baronne de Wallersee, puis à nouveau morganatiquement (1892) Barbe Antonie Barth (1871-1956), titrée baronne de Bartolf (divorce 1913). Il renonça à ses droits pour épouser Henriette Mendel.
Hélène Caroline Thérèse dite Néné (1834-1890), princesse de Tour et Taxis, née duchesse en Bavière. Elle épousa (1858) le prince Maximilien de Tour et Taxis (1831-1867).
Charles Théodore dit "petit coq" (Gackel) (1839-1909), duc en Bavière. Il épousa (1865) la princesse Sophie de Saxe (1845-1867), puis (1874) l’infante Marie-José du Portugal (1857-1943).
Marie Sophie Amélie (1841-1925), reine des Deux-Siciles, née duchesse en Bavière. Elle épousa (1859) le roi François II des Deux-Siciles (1836-1894).
Mathilde Ludovica dite "Moineau" (Spatz) (1843-1925), comtesse de Trani, née duchesse en Bavière. Elle épousa (1861) le prince Louis des Deux-Siciles (1838-1886), comte de Trani et frère de l’époux de Marie.
Sophie Charlotte Auguste (1847-1897), duchesse d'Alençon, née duchesse en Bavière. Elle épousa (1868) le prince Ferdinand d'Orléans (1844-1910), duc d'Alençon.
Maximilien Emmanuel dit Mapperl (1849-1893), duc en Bavière. Il épousa (1875) la princesse Amélie de Saxe-Cobourg-Gotha (1848-1894).

Enfants [modifier]
Sophie Frédérique Dorothée Marie Josèphe (1855-1857), archiduchesse d'Autriche.
Gisèle Louise Marie (1856-1932), archiduchesse d'Autriche. Elle épousa (1873) le prince Léopold de Bavière (1846-1930).
Rodolphe François Charles Joseph (1858-1889), archiduc d'Autriche et prince héritier de l’empire austro-hongrois. Il épousa (1881) la princesse Stéphanie de Belgique (1864-1945).
Marie Valérie Mathilde Amélie (1868-1924), archiduchesse d'Autriche. Elle épousa (1890) l'archiduc François-Salvator d'Autriche, prince de Toscane (1866-1939).

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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeJeu 25 Sep - 10:45

merci beaucoup élizabeth

la fille ainé de sissi est decede d'une maladie a l'age de 2 ans en hongris je crois
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeDim 26 Juin - 13:42

et ben moi j'aurai pas aimé être la vrai sissi...
C'est quand même plus beau dans le DA Razz
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 11:02

Ouais parce que la pauvre sinon... Sad
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 17:42

ça c'est sur

l'histoire finit bien au moins dans le dessin animée
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitimeVen 27 Jan - 11:50

Ouais,chance! lol!
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MessageSujet: Re: La vrai histoire de Sissi   La vrai histoire de Sissi Icon_minitime

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